Interview de Sakura

Dans ce numéro, j'ai eu le plaisir d'interviewer notre bien-aimée gouverneuse de Bonta, pour le mandat du 10 Septange 975 au 24 Septange 975, Sakura Valoria (qui n'est autre que ma tante par alliance).


Marion : Tout d'abord bonjour madame Valoria.

Sakura : Bonjour, Marion.

Marion : Félicitations pour votre accession au trône, je commencerais par une question assez simple: quelle est la raison de votre candidature au poste de gouverneur de la Divine?

Sakura : Eh bien merci. J'ai décidé de me présenter par amour pour cette belle nation et par envie de changer les choses.

M. : Je vois ... Par changer les choses, qu'entendez vous?

S. : Elle soupire. J'aurais souhaité pouvoir mettre de l'animation et redorer l'image de cette nation qui a été salie par un précédent gouverneur.

M. : Une noble cause donc. Vous semblez troublée cela dit, pour quelle raison ?

S. : Je suis déjà lasse de cette tâche. Après un échec et malgré mes efforts, Bonta semble être une nation endormie dont le peuple ne se soucie nullement du gouvernement et à ce stade, elle organise des évenements pour les autres nations plutôt que pour elle-même. De plus, les membres actuels de mon gouvernement ne m'ont pas du tout aidé. Je devrais les changer mais je n'en ai plus l'envie. J'ai décidé de ne plus agir.

M. : Cela m'attriste. Quels genre d'efforts avez vous fait pour redresser la nation ? Êtiez-vous prête à aider le peuple ?

S. : J'ai légèrement modifié les lois vis à vis des hors-la-loi, qui étaient inexistantes à mon arrivée. J'ai répondu à toutes les questions qui m'étaient posées par les citoyens dans le but de les aider et j'ai tenté d'organiser des évènements pour créer une meilleure ambiance. Évènements qui, malheureusement, ont échoué par manque de personnes présentes.

M. : Un régime moins laxiste envers les criminels donc, c'est une bonne chose. Et cela a payé ? Le crime à Bonta a-t-il diminué?

S. : Oui, ce mandat a été plutot calme de ce côté-là.

M. : Pour résumer, un mandat plutot décevant malgré une vraie volonté de changer. Je n'ai pas d'autres questions à poser à part: avez-vous quelque chose à rajouter ?

S. : Cela m'attriste de voir Bonta dans une telle situation: aussi pauvre financièrement et humainement.

M. : Bien, merci pour votre temps et bonne continuation malgré tout. Que la lumière vous garde.

S. : Merci à toi, ce fut un plaisir.

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